Malgré une avance de dix points dans le troisième quart-temps, l’OLB a subi une défaite pour un match qui semblait largement à sa portée. Mais une défaite méritée à mon sens.
La passivité des joueurs était flagrante en fin de match, où leur jeu s’est révélé stérile et dépourvu de créativité. Les écrans n’ont rien apporté, et les joueurs ne se sont pas montrés proactifs pour pénétrer la défense adverse. Sans coupes ni drives vers le panier, OLB a stagné, s’appuyant uniquement sur les performances individuelles sans construire un jeu collectif.
Comme d’habitude avec cet OLB depuis quelques années, dès que les 3 points ne rentrent pas, tout devient plus poussif.
QT1 : Un démarrage difficile
Le jeu s’est révélé haché dès le départ, avec des difficultés à construire et une maladresse notable et des pertes de balles. Rouen n’a pas su tirer parti de son spacing assez mal en place, alors que Kohl Dukes maintenait le cap pour OLB. Beyhurst, peu influent ce soir, a quitté rapidement le terrain, tandis que Niang restait discret. Néanmoins, une stratégie d’entrée efficace a permis aux remplaçants de prendre la relève avec brio.
QT2 : Combativité sous les paniers
OLB s’est illustré dans les luttes pour le rebond offensif mais peinait à développer des combinaisons efficaces. Rouen a rapidement cumulé les fautes, offrant à OLB l’opportunité de marquer facilement. Cependant, même dans cette situation favorable, l’OLB n’a pas exploité cette tendance à la faute pour s’engouffrer dans la raquette adverse, cherchez les fautes et a manqué d’adresse à trois points.
QT3 : Un regain d’énergie
Beyhurst s’est réveillé en défense, et Niang a pris plus de place dans la raquette. Le match a pris un tournant plus dynamique, avec d’impressionnants contres, témoignant d’une montée en puissance. Une bonne phase de jeu qui ressemblait plus à la copie du premeir match de la saison à domicile… mais ça n’a pas duré.
QT4 : Une fin de match paralysée
Rouen a effectué une remontée spectaculaire avec un 10-0, prenant OLB de court. Niang n’était plus servi, et les joueurs semblaient figés, incapables de trouver des solutions face à une équipe de Rouen qui les a dominés tactiquement et physiquement.